Occurences de l'expression

enfant

pour DUFRESNY, Charles

Options de recherche : partie de mot et  insensible à la casse

LA JOUEUSE (1699)

  1. Non les joueuses n'ont de tendresse ni pour mari, ni pour enfants. (Acte 1, scène 4, FROSINE)
  2. Qu'est-ce donc, mes enfants, ma femme ne veut pas qu'on chante dans ce salon-ci ? (Acte 1, scène 6, ORGON)
  3. L'Hymen est fils d'un enfant, v.39 (Acte 3, scène 2, FROSINE)
  4. Oui, oui, mon héritier n'osera pas se venger de moi sue ma femme ; car il a intérêt que je meure sans enfants, et tant pis pour lui s'il était assez fou pour se déshériter lui-même. (Acte 3, scène 11, LE-CHEVALIER)
  5. Oui, mon cher enfant, je me remarie ; cette manière de déshériter, est bien plus réjouissante que l'autre. (Acte 5, scène 4, LA-MARQUISE)
  6. Mes enfants le beau spectacle que je viens de voir là-dedans. (Acte 5, scène 5, LE-CHEVALIER)
  7. Comme il nous manque ici des danses, je fais une entrée de douze dupes enfants de famille vêtus comme des Colonels, et de douze Gascons délabrés. (Acte 5, scène 9, TRIOLET)
  8. Les deux entrées se réunissent et les Gascons dépouillent les enfants de Paris ; mais nus comme la main : cela serait du spectacle. (Acte 5, scène 9, TRIOLET)

LA NOCE INTERROMPUE (1699)

  1. Effectivement il me paraît bon enfant. (Acte 1, scène 16, LE-COMTE)
  2. Bon jour, mon enfant, bon jour : votre cousin dit que vous avez envie d'être mon Fermier. (Acte 1, scène 16, LE-COMTE)
  3. Ça mes enfants, la Noce ne sera plus interrompue, le Contrat est signé, ne pensons qu'à nous réjouir. (Acte 1, scène 23, LE-COMTE)

LES MAL-ASSORTIS (1693)

  1. Avez-vous de beaux enfants, bien conditionnés ? (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)

LA COQUETTE DE VILLAGE OU LE LOT SUPPOSÉ (1715)

  1. Vous serez avec moi comme mon propre enfant. v.265 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
  2. Nous deux et nos enfants, de quoi donc vivrons-nous ? v.321 (Acte 1, scène 9, ARGAN)

LE CHEVALIER JOUEUR (1697)

  1. La pauvre enfant me fait une vraie compassion, cela est si jeune et si fragile. (Acte 2, scène 8, LA COMTESSE)
  2. Que je vous embrasse, ma chère enfant ! (Acte 5, scène 2, LA COMTESSE)
  3. J'espère bien qu'elle le sera ; je vous conseille de la plaindre, la pauvre enfant sera fort à plaindre avec des aubaines comme cela... (Acte 5, scène 8, LE CHEVALIER)
  4. Joue Chevalier mon ami, joue mon enfant, joue mon coeur. (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)

LE NÉGLIGENT (1692)

  1. Je suis un poète né, mon enfant ; mais je n'ai fait le musicien que pour paraître plus extraordinaire, et m'insinuer par là plus aisément dans l'esprit de Monsieur Oronte. (Acte 1, scène 5, LE-POÈTE)
  2. Dorante fait une mine à la nièce : la tante se l'approprie et riposte aussitôt : Dorante reprend son sérieux : la nièce prend ce sérieux pour elle, et le lui reproche par ses minauderies enfantines : la tante s'en aperçoit : la nièce rougit de pudeur : Dorante pour la consoler lui décoche à la dérobée des oeillades louches, que la tante guette au passage. (Acte 2, scène 5, LE-POÈTE)
  3. C'est que vous n'avez pas d'esprit, ma pauvre enfant, et voilà justement ce qui fait que Dorante ne vous aime point ; car enfin c'est l'esprit qui attache un homme ; c'est de mon esprit qu'il est amoureux. (Acte 2, scène 6, BÉLISE)
  4. Quoi, vous vous quereller déjà mes enfants ? (Acte 2, scène 10, FANCHON)
  5. C'est un abus épouvantable d'aimer de jeunes enfants de vingt ou vingt-cinq ans. (Acte 3, scène 1, BÉLISE)
  6. Sais-tu bien Fanchon, que cet enfant-là avec sa simplicité pastorale et bourgeoise va traîner après son char vingt Marquises et autant de Duchesses que je lui sacrifie. (Acte 3, scène 7, LE-MARQUIS)
  7. La pauvre enfant ! (Acte 3, scène 7, FANCHON)

L'ESPRIT DE CONTRADICTION (1700)

  1. Dis-moi donc, mon enfant, de quelle part m'apportes-tu ce billet ? (Acte 1, scène 16, MADAME ORONTE)

LA RÉCONCILIATION NORMANDE (1719)

  1. Pour vos enfants, à vous je les conserverai. v.424 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  2. Une femme de bien haïr son propre enfant, v.476 (Acte 2, scène 5, NÉRINE)

LE JALOUX HONTEUX (1708)

  1. Dites-moi, je vous prie, la belle enfant, ne pourrais-je point parler à Lisette ? (Acte 1, scène 8, DAMIS)
  2. Mais mon enfant, je m'étonne que Monsieur le Président souffre un Jaloux chez lui ; étant d'une humeur si opposée à la jalousie. (Acte 1, scène 9, DAMIS)
  3. Je suis un enfant là-dessus. (Acte 2, scène 6, LE PRÉSIDENT)
  4. Vous n'imaginez rien, vous avez l'esprit bouché, vous n'êtes qu'un enfant ! (Acte 2, scène 6, LA PRÉSIDENTE)

LES ADIEUX DES OFFICIERS (1693)

  1. Le plus pressé de ma besogne c'est de le faire partir promptement. Songez seulement aux soins de votre ménage ; et pendant mon absence, mettez la paix entre vos deux enfants, qui se mangent le blanc des yeux ensemble. (Acte 1, scène 2, VULCAIN)
  2. Pour cet enfant. v.177 (Acte 1, scène 8, JUNON)

LE FAUX INSTINCT (1707)

  1. Je vous suis obligé, mes enfants, j'attends ici la diligence de Lyon. (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  2. Tu es toujours en humeur de gognarder, nous avons biau avoir du chagrin, tu bois, tu chantes, tu vas toujours ton train, comme si n'y avait rien à craindre, je suis toute troublée, moi, je voudrais n'avoir jamais nourri les enfants des autres, comment feras-tu asteure vla tout ton esprit à bout. (Acte 1, scène 5, LA NOURRICE)
  3. Mais puisque tu es si futé, songe donc à quelque rubrique pour mettre eune fin à tout ça, car voilà cette petite fille qui grandit, via le vieux père et sa jeune mère d'un côté, vla la vieille mère et son jeune mari de l'autre, ils vont bientôt revenir tretous de leux voyages, que leur diras-tu sur leux enfants ? (Acte 1, scène 5, LA NOURRICE)
  4. Bonjour ma chère enfant. (Acte 1, scène 9, TOINETTE)
  5. L'aventure commence à me réjouir, car c'est moi-même qui ai donné cet enfant à la nourrice, quand son père partit il y a quatre ans pour aller faire encore une promenade aux Indes, et il y emmena sa jeune femme parce qu'il est jaloux. (Acte 1, scène 10, TOINETTE)
  6. Oui, quelque quiproquo d'enfant ; et si ce qui me vient en pensée est vrai, le tour est assez plaisant. (Acte 1, scène 10, TOINETTE)
  7. Répondez-moi, Monsieur le nourricier, quand je vins ici il y a quatre ans, trois mois, après que nous eûmes donné à votre femme l'enfant à nourrir, vous me fîtes voir une petite fille qui venait d'avoir la petite vérole. (Acte 1, scène 11, LA MIE)
  8. C'est a dire que des deux enfants qui l'avaient eue, il en était mort une. (Acte 1, scène 11, LA MIE)
  9. Voyez l'effronté aprés avoir tiré double entretien d'un même enfant. (Acte 1, scène 11, LA MIE)
  10. Ce n'est pas le premier enfant qu'on fait entretenir à plusieurs pères. (Acte 1, scène 11, TOINETTE)
  11. Comme on ne sait de quoi s'entretenir dans ces voitures, après nous être raconté l'histoire de nos familles, nous avons reconnu, que nos deux petites filles avaient été nourries par cette même nourrice-ci ; mon mari, comme tu sais, est entêté de ses idées de sympathie, d'instinct, la veuve est entêtée des mêmes visions ; ils veulent par l'instinct seul distinguer chacun leur enfant, c'est une gageure enfin, ils veulent que sans les avertir, on leur fasse voir les deux petites filles toutes deux ensemble. (Acte 1, scène 14, LE-FEMME-DU-VIEILLARD)
  12. Moi pour confirmer cette nouvelle au vieillard superstitieux, je le prendrai par son faible ; je lui dirai que son enfant ne pouvait pas vivre, qu'il était né pendant l'éclipse ; il croit tout ce qu'on lui dit sur ce ton là. (Acte 2, scène 1, TOINETTE)
  13. Bon, bon, je lui dirai, que notre berger avait ensorcelé le lait de la Nourrice, et qu'il avait dit des paroles venimeuses sur le mouton, d'où venait la laine du maillot de l'enfant. (Acte 2, scène 1, LE NOURRICIER)
  14. Çà , Madame, il faut attendre ici qu'on nous amène les deux enfants ensemble, sans nous les distinguer. (Acte 2, scène 3, LE VIEILLARD)
  15. Le mien me ferait discerner entre mille personnes inconnues, non seulement un enfant, mais un cousin, un petit cousin au dixième degré. (Acte 2, scène 3, LA VEUVE)
  16. Hélas, il y a double sympathie entre ma petite fille et moi ; c'est mon mari que j'aime dans sa fille, je l'aimerai encore dans la fille de sa fille, et dans les enfants de leurs enfants, jusqu'à la dixième génération. (Acte 2, scène 3, LA VEUVE)
  17. Vous n'avez plus d'enfants tous deux. (Acte 2, scène 4, LA-NOURICE)
  18. Ça voila donc nôtre vieillard persuadé qu'il n'a plus d'enfant, il faut tirer secrètement de l'argent de la veuve comme je t'ai dit. (Acte 2, scène 5, TOINETTE)
  19. Oui quand j'aurai baillé à la sourdine l'enfant à la veuve avec ces brinborions de papiers que je vous ai dit, on ne pourra pas l'y ôter. (Acte 2, scène 5, LE NOURRICIER)
  20. Ah, je vous impose silence aussi bien qu'à elle, je n'aime point à entendre dire des choses qu'on ne pense point, et pour vous dire en un mot mes sentiments, je me console contre mes propres intérêts de n'avoir plus d'enfant, puisque cela peut faire le bonheur d'Angélique que j'aime. (Acte 2, scène 9, LA FEMME DU VIEILLARD)
  21. Je vois que vous y entendez finesse vous Madame, puisque vous les soutenez, ils l'ont caché sans doute, pour vous la donner à mon préjudice, cela est bien malhonnête de vous aproprier mon enfant. (Acte 2, scène 13, LE VIEILLARD)
  22. Puisque vous le prenez sur ce ton là, Monsieur, l'enfant est à moi, ces gens-ci me tendront témoignage. (Acte 2, scène 13, LA VEUVE)
  23. Pour qu'on put croire un enfant à vous, il faudrait qu'il eu quinze ans. (Acte 2, scène 13, LE VIEILLARD)
  24. Vous voulez avoir un enfant pour vous faire honneur. (Acte 2, scène 13, LE VIEILLARD)
  25. Je n'ai point dessein de vous offenser, Madame, mais croyez-moi, vous devez me céder la petite fille, car pour votre honneur aussi, vous ne devez point avoir d'enfant avec un mari de cet âge-là. (Acte 2, scène 13, LA VEUVE)
  26. Madame a raison, car nous ne devons point souhaiter l'enfant d'autrui, dites la chose comme vous la savez Nourricier. (Acte 2, scène 13, LA VEUVE)
  27. Parle-donc misérable, parle, cet enfant-là n'est-il pas à moi, hen. (Acte 2, scène 13, LE VIEILLARD)
  28. J'ai fait en conscience, Monsieur, car c'est que j'attendais que l'enfant fut en âge de raison, afin qual eut la raison de vous dire qui est son père et sa mère. (Acte 2, scène 13, LE NOURRICIER)
  29. Quel animal, un enfant se souvenir du moment qu'il est né ! (Acte 2, scène 13, LE VIEILLARD)
  30. Oui et après, tout ce qu'a dira sera vrai, car j'en ai tant vu comme ça à Paris des petites filles aux enfants trouvés, qui disent, vla papa, vla maman, et ils n'en manquent pas un, cela est admirable. (Acte 3, scène 5, LE NOURRICIER)
  31. Regardez bien la belle enfant, quelle est jolie. (Acte 3, scène 5, LA VEUVE)

LE FAUX SINCÈRE (1731)

  1. À son départ encor vous voyait comme enfants : v.182 (Acte 1, scène 3, MADAME ARGANT)
  2. Qui me fais là-dessus des scrupules d'enfant, v.1154 (Acte 4, scène 2, LE-CHEVALIER)

LE FAUX HONNÊTE HOMME (1703)

  1. En débarquant à Marseille, j'appris que mon ami s'y mourait, j'y cours, je trouve le mourant investi de quelques amis de voyage, de quelques héritiers, et autres corsaires qui vont en course, sur ceux qui meurent sans enfants ; il a tout donné à un ami, me dit-on, cela me mit en colère. (Acte 1, scène 4, LE-CAPITAINE)
  2. Bon voici justement le valet d'Ariste ; il ne me cachera rien ; c'est un bon enfant ; un bon benêt. (Acte 1, scène 10, FROSINE)
  3. Les belles actions sont les enfants du coeur, et... (Acte 2, scène 14, ARISTE)
  4. Je mourrai sans enfants, moi. (Acte 2, scène 14, LE-CAPITAINE)
  5. Oui, mon enfant, je me remarie, et je me remarierai tant, tant, que je te donnerai une douzaine de frères, et de soeurs ; cette manière de déshériter, est bien plus réjouissante que l'autre. (Acte 3, scène 3, LA-MARQUISE)

Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: Entity: line 2: parser error : Start tag expected, '<' not found in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97

Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: LES AVENTURES DU ROI PAUSOLE in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97

Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: ^ in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97

LA MALADE SANS MALADIE (1699)

  1. J'allais à votre chambre, ma chère enfant ; j'allais vous donner avis de certaines choses qui se passent à votre préjudice ; car vos intérêts me sont chers... (Acte 1, scène 2, LUCINDE)
  2. Les pauvres enfants ! (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  3. Mon père plaidait, mes enfants plaideront, et ma mère qui n'était qu'une femme plaidait aussi. (Acte 2, scène 2, LAVALÉE)
  4. Je suis bien heureuse, que mon secret soit tombé entre les mains d'un homme, qui pourrait avoir besoin d'un millier d'écus, entre les mains d'un honnête garçon comme vous, d'un bon enfant. (Acte 4, scène 1, LUCINDE)
  5. Parlez mieux d'une aimable enfant qui se vient jeter entre mes bras ; je l'ai prise sous ma protection. (Acte 4, scène 4, FAUSSINVILLLE)
  6. Je calcule que vous n'avez de la vie, que ce qu'il vous en faut tout juste : non, Monsieur, si elle donnait la vie à un enfant pas plus gros que le poing, il ne lui en resterait plus pour elle. (Acte 5, scène 5, LAVALÉE)

LE DOUBLE VEUVAGE (1699)

  1. À l'égard de premièrement, Monsieur notre Intendant, l'être fort ridicule, fort ridicule ; il dit qu'il y a dix ans que sa femme a du mariage, et qu'elle n'a point de génération ; et que c'est pour cela qu'il allait quérir des enfants aux eaux, vla de quoi il m'entretena tant qu'il arrivit... (Acte 2, scène 7, LE SUISSE)
  2. À l'égard de secondement, Monsieur l'Intendant est encor pu ridicule, car j'aime le bon vin moi, et lui fut aux eaux pour boire de l'eau, et dans cette eau-là, au lieu d'enfants, il y trouvit tant de maladie, tant de maladie, qu'il en était mort quand il en ressuscitit. (Acte 2, scène 7, LE SUISSE)
  3. Tant que votre mari a vécu, vous m'alléguiez pour excuse, que vous espériez avoir des enfants ; mais vos espérances et vos excuses sont mortes avec votre époux, vous êtes maîtresse de vos volontés, il faut ou marier Thérèse, ou me dire que vous ne le voulez pas. (Acte 2, scène 11, LA COMTESSE)
  4. Consolez-vous, ma chère enfant, j'empêcherai bien que Madame_la_Comtesse ne vous marie. (Acte 3, scène 10, L'INTENDANT)
  5. Monsieur, vous savez qu'elle n'a rien, et quand rien se marie avec rien, cela fait des enfants si tristes... (Acte 3, scène 10, GUSMAND)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 15 textes (soit une présence dans 0,79 % des textes) dans lesquels il y a 83 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 5,53 occurences par texte.

n° Titres Acte 1 Acte 2 Acte 3 Acte 4 Acte 5 Total
1 LA JOUEUSE201047
2 LA NOCE INTERROMPUE300003
3 LES MAL-ASSORTIS100001
4 LA COQUETTE DE VILLAGE OU LE LOT SUPPOSÉ200002
5 LE CHEVALIER JOUEUR010034
6 LE N?GLIGENT133007
7 L'ESPRIT DE CONTRADICTION100001
8 LE JALOUX HONTEUX220004
9 LES ADIEUX DES OFFICIERS100001
10 LES ADIEUX DES OFFICIERS100001
11 LE FAUX INSTINCT111820031
12 LE FAUX SINCÈRE100102
13 LE FAUX HONN?TE HOMME221005
14 LA MALADE SANS MALADIE210216
15 LE DOUBLE VEUVAGE032005
16 LA RÉCONCILIATION NORMANDE020002
17 LA JOUEUSE001001
  Total3032103883

 

 Lexique d'un texte

 Cherche dans un texte

 Lexique

 Cherche chez un auteur

 Cherche dans le corpus

 Archaïsmes